Vincente Minnelli, 1953 (États-Unis)
D’APESANTEUR
"Je ne tremblote pas, je vois tout"
Vincente Minnelli, 1953 (États-Unis)
D’APESANTEUR
Otto Preminger, 1944 (États-Unis)
Pour les dix ans de La Kinopithèque, je propose ici un texte sur Laura, publié à l’automne dernier sur De son cœur le vampire, et qui fait écho à celui de Benjamin, Amours troubles, consacré au même film. Ce qui m’avait frappé en lisant ce dernier et les commentaires l’accompagnant, c’est combien, avec Laura d’Otto Preminger ou La femme au portrait de Fritz Lang, le film noir naissant se découpe déjà, dès 1944 (c’est aussi l’année d’Assurance sur la mort de Billy Wilder), en sous-genres assez clairement marqués. Continuer la lecture Laura
Ingmar Bergman, 1982 (Allemagne, France, Suède).
Fanny et Alexandre répand comme une magie, un envoûtement qui continue dix ans après la mort de son créateur à fasciner ceux qui ont été pris dans ses images. Continuer la lecture Fanny et Alexandre
Vincente Minnelli, 1954 (États-Unis)
CONTE DE FÉES AMBIVALENT ET APPEL DU RÊVE
Un conte de fées ambivalent déguisé en comédie musicale : c’est ainsi que l’on pourrait résumer Brigadoon de Vincente Minnelli, ce maître de l’enchantement. Continuer la lecture Brigadoon
Otto Preminger, 1944 (États-Unis)
AMOURS TROUBLES
En 1944, ce même mois de novembre, sortaient aux États-Unis deux films noirs absolument superbes. Continuer la lecture Laura