Florilège 2018

F l o r i l è g e 2 0 1 8

3 f i l m s pour 2018

 

et de 1 à 10 :

Pas loin derrière : 
Les frères Sisters (Jacques Audiard) et Under the silver lake (David Robert Mitchell) ou Plaire, aimer et courir vite (Christophe Honoré) . On pourrait aussi citer le sympathique Bécassine ! (Bruno Podalydès)…

Un film à débat : BlacKkKlansman (Spike Lee)

Et un film poubelle :

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17 commentaires à propos de “Florilège 2018”

  1. Je rajoute ici trois films manqués :
    The house that Jack built de Lars von Trier, Une affaire de famille de de Hirokazu Kore-eda (dans un autre genre), ainsi que Bohemian Rhapsody de Bryan Singer… Je suis aussi curieux du dernier Mamoru Hosoda, Miraï, ma petite sœur.

  2. Allez, comme chaque année, voici mon palmarès. Je n’ai pas trouvé cette année 2018 très prolifique en chefs-d’oeuvre par rapport aux années précédentes, mais il y eu quand même quelques bonnes surprises.

    1- 3 billboards (Martin Mc Donagh)
    2- Hostiles (Scott Cooper)
    3- L’île aux chiens (Wes Anderson)
    4- Hérédité (Ari Aster)
    5- Mortal engines (Christian Rivers)
    6- Les heures sombres (Joe Wright)
    7- First man : le premier homme sur la Lune (Damien Chazelle)
    8- The Captain – l’usurpateur ( Robert Schwentke)
    9- Ready player one (Steven Spielberg)
    10- La forme de l’eau (Guillermo Del Toro)

    C’est marrant, j’ai l’impression qu’on a vu tous le même film poubelle cette année ! Je me range à cet avis aussi.

  3. Mais où diable est passé le comm’ laissé il y a quelques semaines ?! j’y disais que tu étais le bienvenu chaque mois si tu le souhaitais vu que ton florilège a beaucoup de points communs avec la team (et que tu défends Salvadori). Bref ! à te lire

  4. Même numéro 1. Je n’ai pas vu tous les films de ton top mais je suis surpris de voir revenir le RPO de Spielberg dans pas mal de tops français sur le net. J’avais bien aimé mais je pense être passé un peu à côté.

  5. J’ai trouvé cette année Spielberg en grande forme, présent à la fois sur un film d’actualité et un film plus personnel (je n’ose pas dire intimiste et pourtant, à sa façon, RPO parle du père comme IA le faisait de la mère), à la fois sur un film engagé et un blockbuster ouvert à la culture geek. Donc oui Pentagon papers comme Ready Player one sont suffisamment exceptionnels pour un top !

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