Florilège 2014

F l o r i l è g e 2 0 1 4


3 f i l m s pour 2014



Puis :





De 1 à 12 :

1- Interstellar de Christopher Nolan
2- Boyhood de Richard Linklater
3- Sils Maria de Olivier Assayas
4- Les combattants de Thomas Cailley
5- Only lovers left alive de Jim Jarmusch
6- Mommy de Xavier Dolan
7- Maps To The Stars de David Cronenberg
8- Le Conte de la princesse Kaguya de Isao Takahata
9- Ida de Pawel Pawlikowski
10- Her de Spike Jonze
11- The Amazing Spider-Man : le destin d’un héros de Marc Webb
12- Under the Skin de Jonathan Glazer




Petite liste pour rattrapage à venir :

Aurais-je manqué quelque chose pour ne pas en retenir un de ceux-ci parmi les 10 ci-dessus ?
Timbuktu d’Abderrahmane Sissako
The Grand Budapest Hotel de Wes Anderson
Gone Girl de David Fincher
Magic in the Moonlight de Woody Allen
L’Homme qu’on aimait trop d’André Téchiné (pour Téchiné, Adèle Haenel et Deneuve)
Mademoiselle Julie de Liv Ullmann (pour Jessica Chastain plus que pour le reste)
Le vent se lève de Hayao Miyazaki
Métamorphoses de Christophe Honoré
Saint Laurent de Bertrand Bonello
Tom à la ferme de Xavier Dolan



D’autres encore :
Grace de Monaco de Olivier Dahan (pour espérer voir Kidman dans un bon film depuis…)
Joe de David Gordon Green
Monuments Men de George Clooney
Les Sorcières de Zugarramurdi de Álex de la Iglesia
Whiplash de Damien Chazelle
Edge Of Tomorrow de Doug Liman
Dracula Untold de Gary Shore (pour la série B avec vampire)
Lucy de Luc Besson (pour pouvoir dire que je n’ai jamais vu Scarlett Johansson aussi mal filmée)
Gemma Bovery d’Anne Fontaine



Des documentaires aussi :
Le Sel de la terre de Wim Wenders sur Juliano Ribeiro Salgado
National Gallery de Frederick Wiseman
Iranien de Mehran Tamadon



Des réalisateurs que l’on suit mais dont on craint le film cité :
Still the Water de Naomi Kawase
L’écume des jours de Michel Gondry
Jersey Boys de Clint Eastwood
Nymphomaniac – Volume 1 et 2 de Lars von Trier
Exodus de Ridley Scott



Le film poubelle :
I, Frankenstein de Stuart Beattie

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22 commentaires à propos de “Florilège 2014”

  1. Allez mon top-10 perso de 2014:

    1. Nymph()maniac1&2 (loin devant, nouveau chef-d’oeuvre absolu)
    2. Interstellar (magique & métaphysique)
    3. The enemy (original et superbe réalisation)
    4. Le hobbit : la bataille des 5 armées (beau dénouement, mais je ne suis pas objectif)
    5. Un homme très recherché (excellent film d’espionnage)
    6. Captain America 2 (une suite largement supérieure au 1er volet)
    7. Les sorcières de Zugarramurdi (plus que drôle !)
    8. Only lovers left alive (envoûtant)
    9. The salvation (du grand western !)
    10. Dallas buyers club (très bonne surprise de cette année)

    Et aussi très près: La planète des singes : l’affrontement , Gone girl, Nebraska, Fury, Jimmy’s hall, Her… Et tellement d’autres, mais pas mal de films manqués cette année. Séquence rattrapage à prévoir avec: I origins, Mommy, Boyhood, Magic in the moonlight

  2. Jolie liste, composée avec un goût évident, parfois ponctuée de choix étonnants (Spider-man que je n’ai pas vu, effrayé par les nombreux quolibets dont il fut victime). Parmi ces 5 premiers, 2 font défaut de mon côté (pas vu Boyhood ni Sils Maria, mais moi et Assayas ça a toujours été un peu compliqué) mais je sais déjà que l’un d’entre eux intégrera ma sélection personnelle. Un indice : on y évoque la musique qui s’échappe d’une étoile en diamant…

  3. J’avais oublié Her dans mon classement !

    Merci Ludo de mentionner I origins, cela confirme que Mike Cahill poursuit une voie toute personnelle dans la SF (il me faut revoir Another Earth sur lequel je m’étais lamentablement endormi). Et je savais que Les sorcières de Zugarramurdi valaient le coup !

    Pour Spider-man placé à côté d’Under the Skin c’est aussi pour signaler que je ne sais pas trop quoi faire de ce dernier, dont les plans subjuguent et dont le récit entretient un beau mystère mais un mystère pourrissant dans sa deuxième partie. Le film de super-héros lui, s’affiche tel qu’il est et de tous ceux que j’ai vu cette année, Spider-man, quoi qu’en disent les railleurs, est le plus excitant (mieux que le Captain, mieux que Les gardiens, mieux que les X-Men, sauf la scène de Quicksilver).

    • Eh bien voilà un avis qui relance mon intérêt pour ce blockbuster mal-aimé. Jusqu’ici, en matière de costume, c’est l’officier étoilé qui m’a le plus enthousiasmé. Quant au mystère Scarlett, je l’aime autant florissant que pourrissant. Un penchant nécrophile inavoué sans doute.

  4. De mon côté (mais avec beaucoup de films manqués cette année…)
    1. Interstellar
    2. Only lovers left alive
    3. Sils Maria
    4. Ida
    5. Maps to the stars
    6. Under the skin
    7. The Grand Budapest Hotel
    8. Gemma Bovery
    9. The Homesman
    10. Magic in the moonlight

    – Je retiens aussi 2 documentaires: A la recherche de Vivian Maier de Siskel et Maloof, et Conversation animée avec Chomsky de Gondry.

    – Vus avec les poussins et appréciés : Minuscule, la vallée des fourmis perdues de Thomas Szabo et Hélène Giraud; Jack et la mécanique du cœur de Stéphane Berla, Mathias Malzieu, Les Boxtrolls de Graham Annable et Anthony Stacchi.

    – Mention spéciale à la (re)découverte cette année sur grand écran du Mépris (1963), mythique !

    – Rattrapage indispensable dès que possible avec Boyhood, Mommy, Dallas buyer club, Le Conte de la princesse Kaguya, Le vent se lève

  5. Je suis finalement assez peu allé au cinéma cette année et j’ai raté quelques films qui m’intéressaient mais pour lesquels je n’ai pas réussi à me libérer.

    Je retiens tout de même quelques bons moments de ciné :

    Only lovers left alive (Jarmush au top, comme toujours)
    Gone girl (je continue d’apprécier Fincher, même si le film est loin d’être parfait)
    Maps to the stars (un bon retour de Cronenberg)
    The homesman (à défaut d’être génial, c’est solide et bien réalisé)
    Under the skin (un film étrange et dérangeant qui m’a fasciné)
    Jimmy’s hall (bon ok, Ken Loach a un peu de mal à se renouveler, mais ça reste tout de même un grand réalisateur)

    Le rattrapage indispensable : Still the water

    Pour le film poubelle : Sous les jupes des filles (la dernière fois que j’ai autant regretté mon argent c’était pour Asterix de Zidi, c’est dire !). Je remarque que dans les deux cas, on m’a traîné de force au cinéma.

    Et dans la catégorie plaisir coupable (oui oui j’ai honte) : Les gardiens de la galaxie.
    Un film complètement con mais au moins sans prétention, voire parfois même rafraichissant. Bon, je reconnais que l’humour y est un peu facile (et lourdingue) et que le cabotinage des acteurs peut porter sur les nerfs, Mais en débranchant 90 minutes son cerveau ça passe (malgré la fin vraiment too much).

    • Pour ce qui est du cinéma, ne jamais céder à son entourage ! Et compte tenu des déceptions et des films vus, ne pas en faire une règle mais un principe de vie.

      Je vois par ailleurs que tu suis toujours Naomi Kawase, dont nous avions chroniqué Genpin et Hanezu mais dont je n’ai toujours pas vu le film le plus remarqué, La forêt de Mogari.

  6. Voici le classement indiscutable!
    1. Gone Girl, de David FINCHER
    2. Boyhood, de Richard LINKLATER
    3. The Grand Budapest Hotel, de Wes ANDERSON
    4. Winter sleep, de Nuri Bilge CEYLAN
    5. My Sweet pepperland, de Hiner SALEEM
    6. Mommy, de Xavier DOLAN
    7. Black Coal, de Yi-Nan DIAO
    8. Bird people, de Pascale FERRAN
    9. Tom à la ferme, de Xavier DOLAN
    10. Le Vent se lève, de Hayao MIYAZAKI
    11. Maps to the stars, de David CRONENBERG
    12. Deux jours, une nuit, des frères DARDENNE

    Je n’ai quasiment pas vu de film avant mai et j’ai raté des œuvres telles que Sils Maria, Only lovers…, Nymphomniac, Le conte de la princesse Kaguya, The enemy (dont je découvre l’existence sur le classement de Ludo), Whiplash et Timbuktu (je peux encore me rattraper pour ces deux-là). Le sentiment qui se dégage de cette année est un classement très resserré, avec seulement trois films que j’ai trouvés franchement médiocres (The homesman, Joe et Noé), Under the skin en seizième place alors qu’il pourrait facilement faire partie de mon top 10, mais surtout pas un film qui m’a bouleversé comme The Master, Melancholia, Tree of life ou Take shelter l’avaient fait les trois dernières années. J’étais aussi soulagé les années précédentes en me confirmant que j’étais un bon petit soldat de la cinéphilie, mes goûts correspondant pour l’essentiel à ceux des Cahiers du cinéma. Mais là, stupéfaction, je mets Fincher tout en haut (j’ai failli ne pas me déplacer pourtant). Il est vrai que Gone girl (comme House of cards, The social network, etc.) est tout sauf l’arme satirique pointée contre la société américaine que l’on pourrait souhaiter ; les personnages y sont stéréotypés et les situations rocambolesques. Mais comme c’est intelligent, bien construit et bien filmé, une sorte de bijou parnassien futile mais terriblement maîtrisé.

    • J’avais oublié (encore !) Black coal que l’on citait à propos de l’extraordinaire Touch of sin de Jia Zhang-Ke, ainsi que Les chiens errants de Tsai Ming-liang, ce qui permet aussi de faire réapparaître un peu d’Asie dans le classement (préférable à mon goût à l’évocation du second épisode de Detective Dee de Tsui Hark que je vois dans quelques classements de fin d’année).

      Et… Une autre vie de Mouret que je découvre à peine et que je ne manquerais pas de défendre à l’occasion !

  7. Salut et Bonne année

    Oui on dirait bien que tout le monde a oublié Black Coal
    Trois films en commun avec mon top 10 de films vus et trois aussi avec mon top de films pas vus.
    Tu as une belle liste de rattrapage 🙂
    Et Amazing Spider-Man 2 : non, non et non !

    Belle année cinéphile !

    • En plus, tu vas me dire que c’est du grand n’importe quoi puisque je le fais passer avant Under the skin, non que je préfère nécessairement les collants rouges et bleus de l’un à leur totale absence (et à l’absence de tout superflu vestimentaire) chez l’autre… Mais, ou bien Spider-Man c’est mon Lego à moi, ou bien je suis passé à côté de quelque chose avec ce jeu animé.

      Et oui les listes de rattrapages sont chaque année de plus en plus effrayantes, d’où l’excellent concept (pour tenter de se consoler un peu ou servir d’aide-mémoire) de toujours glisser un mot sur des films qui ne se résume d’abord (et malheureusement pour trop longtemps) qu’à des envies.

  8. C’est sans doute ton Lego. Mais je dois dire que je ne comprends pas ton enthousiasme pour cette bluette sirupeuse avec cette tête à claque d’Andrew Garfield. Je vais aller relire ta critique.

    • C’est amusant car il semble que l’ordre donné à mon classement te permette une parfaite alternance de « je te rejoins là »  » mais pas là » (en commençant par la négative et même si tu as fui les grosses productions). Il reste quand même l’essentiel, c’est pas mal, d’autant que les six restant sont très beaux. Encore une fois quelle émotion dès l’introduction des Combattants !

      D’ailleurs, à propos de deux d’entre eux, comme Nolan, je trouvais ta critique de Mommy très intéressante (tu fais du cadre, du hors-cadre et du format une belle approche) et, comme Orlof, celle que tu fais de Her plus fine que la mienne.

  9. Avec un peu de retard, voici le mien:
    The Grand Budapest Hotel (Wes Anderson)
    Enemy (Denis Villeneuve)
    Only Lovers Left Alive (Jim Jarmush)
    Le vent se lève (Hayao Myazaki)
    Interstellar (Christopher Nolan)
    Maps to the Stars (David Cronenberg)
    Mister Badadook (Jennifer Kent)
    Les Gardiens de la Galaxie (James Gunn)
    Edge of Tomorrow (Doug Limon)
    The Hobbit: la bataille des cinq armées (Peter Jackson)

    film poubelle:
    il y en a eu pas mal cette année mais la palme revient pour moi à Lucy de Luc Besson (bon ok, c’est un des plus gros cartons pour un film français à l’étranger mais pour la qualité, on repassera)

  10. C’est bien que tu cites ce film, Kervern en bourru perdu et toujours, plus ou moins volontairement tourné vers les autres, Deneuve à l’esprit lézardé et ruminant sur son sort enfermée (Repulsion bien évidemment). Un joli duo d’acteurs comme souvent chez Salvadori. Dans les Inrocks, on parlait de « mélan-comédie élégante ».

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